Dans toutes les familles certaines erreurs se répètent de génération en génération.
Venir à bout de ce schéma n’est pas si simple !
Malgré une relation construite sur les non-dits, c’est avec amour, humour et maladresse qu’une mère au tempérament effronté, décide de rompre la répétition des cycles.
Le temps reste suspendu dans une intimité où l’une et l’autre écoutent ces vérités blessantes qui font grandir.
Marie-Hélène Lentini (dernièrement dans Coiffure et confidences et Fleur de cactus nominée aux Molières) plus habituée à des rôles de comédie pure, excelle dans ce rôle de « mère » distillant un sarcasme mordant. Dorothée Martinet complète ce duo, que l’on pourrait croire avoir été écrit pour elles, avec une sensibilité rare.
une piÈce vraie, drÔle eT opTimisTe sur la Transmission
enTre une mÈre eT sa fille, porTée par deuX comédiennes eXcepTionnelles.
NOTE D’INTENTION
« Poissons et petits pois » est une réflexion sur la transmission entre les générations, plus particulièrement entre une mère et sa fille.
Il fallait deux comédiennes profitant d’un rapport filial évident pour que nous puissions construire autour. Pointer la complexité de leur relation, faite de silence, de maladresse et de tendresse, usant d’humour et de pudeur.
A travers elles, nous abordons des sujets universels, quotidiens et subtils : la transmission, la trahison, l’intrusion, l’infidélité et surtout la responsabilité que tout cela implique.
Par cette pièce nous souhaitons donner à réfléchir sur les raisons qui nous font accepter, répéter ou refouler des situations qui font mal. S’interroger sur la force du silence, la puissance des non-dits qui s’accumulent et la difficulté de les briser.
Attachant de l’importance à l'imaginaire et à la volonté que chacun puisse y mêler son expérience, le décor se devait d’apporter une vraie neutralité (d’époque, d’appartenance sociale…) Totalement transparent, par le jeu de lumière, il peut s’effacer mais aussi devenir le support de la narration. L'unité de lieu (l’appartement de la mère), son intimité et sa simplicité permettent ainsi de nous brancher à nos sens en un battement de cil.
« Poisson et petits pois » se veut un vrai cri d’amour et de pardon. Le témoin que l’abnégation n’est pas la seule solution.
Slimane KACIOUI et Aliocha ITOVICH
Il fallait deux comédiennes profitant d’un rapport filial évident pour que nous puissions construire autour. Pointer la complexité de leur relation, faite de silence, de maladresse et de tendresse, usant d’humour et de pudeur.
A travers elles, nous abordons des sujets universels, quotidiens et subtils : la transmission, la trahison, l’intrusion, l’infidélité et surtout la responsabilité que tout cela implique.
Par cette pièce nous souhaitons donner à réfléchir sur les raisons qui nous font accepter, répéter ou refouler des situations qui font mal. S’interroger sur la force du silence, la puissance des non-dits qui s’accumulent et la difficulté de les briser.
Attachant de l’importance à l'imaginaire et à la volonté que chacun puisse y mêler son expérience, le décor se devait d’apporter une vraie neutralité (d’époque, d’appartenance sociale…) Totalement transparent, par le jeu de lumière, il peut s’effacer mais aussi devenir le support de la narration. L'unité de lieu (l’appartement de la mère), son intimité et sa simplicité permettent ainsi de nous brancher à nos sens en un battement de cil.
« Poisson et petits pois » se veut un vrai cri d’amour et de pardon. Le témoin que l’abnégation n’est pas la seule solution.
Slimane KACIOUI et Aliocha ITOVICH
GALERIE
Soutien(s) : La SPEDIDAM
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Amélie Bonneaux 06 64 92 48 28
diffusion@zdproductions.net Sylvain Derouault 06 89 10 79 67
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